Récit coquin : Une réunion intéressante...

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Une réunion intéressante...

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Histoire ajoutée le 18/10/2008 par Nicole

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Depuis l’histoire de la webcam, nous avions eu pour habitude de tout nous raconter. Les amants passés, ou futurs, les fantasmes réalisables et les plus extravagants. Parmi les premiers, j’en avais un bien précis. Depuis mon adolescence, j’aime me promener nue à la maison. Mon compagnon ne s’en est d’ailleurs jamais plaint. Il aimerait que je le fasse aussi à l’extérieur mais je ne suis pas encore prête pour cette exercice que je sais très excitant. Dans l’appartement, il n’y a aucun vis à vis par contre dehors, c’est une autre histoire. Un coup de vent, une bouche de métro, ou encore une position mal calculée serait un désastre pour moi. Cela ne serait pour moi qu’un fantasme inassouvi et rien d’autre,… Et pourtant…
Un midi, durant notre déjeuner, nous avions donc parler de nos petits fantasmes. Mon amie Chocolat voulait faire une fois l’amour dans la grande salle de réunion du 7ème étage. Sur la moquette, quelques minutes avant l’arrivée des grands Directeurs. Et, pendant que nous élaborions son scénario avec le jeune cadre du 4ème, je lui glissais mon habitude de me promener nue dans l’appartement.

- Loin d’être exhibitionniste, j’aime être nue lorsque je reste à la maison.
- Tu es toujours nue chez toi ?
- Oui, dès que je rentre, j’enlève mes vêtements et je vaque à mes occupations. R… adore rentrer du travail après moi pour me voir nue.
- Tu veux dire que tous les soirs, tu es nue chez toi ? !
- Oui, sauf lorsque je suis malade évidemment.
Les yeux de mon amie trahissaient la stupeur :
- Lorsque tu réponds au téléphone aussi ?
- Bien sûr. Je ne vais pas me rhabiller pour te répondre…

La dessus, je lui expliquais les incessantes demandes de R. Son envie de me savoir nue sous ma jupe lors de nos sorties au restaurant.

- Cela, je l’ai déjà fait. Me dit-elle, une pointe de fierté dans la voix.
- Quand ? Lui demandais-je surprise.
- Pas plus tard que la semaine dernière.
- Raconte. Fis-je impatiente.
- D’accord mais à une seule condition. On remonte au bureau après avoir quitté nos culottes.
Je fis un mouvement de recul :
- Tu es folle. Pas au bureau.
- Pourquoi ? Si tu réussis au bureau, tu pourras sans problème le refaire ailleurs. Imagine ce que tu pourrais raconter à ton homme ce soir… La soirée que tu te prépares. Profites-en, aujourd’hui, tu es en robe longue. Cela ne se verra pas. En plus, je suis sûr que tu en meurs d’envie, comme moi.

Il est vrai que c’était un bon test pour le futur. Et puis, je n’étais pas un homme, je ne risquais pas une érection incontrôlable.
Mon cœur battait fort mais je ne voulais pas paraître trop « chochotte » devant mon amie.

- OK.
- Super. Enlève-là maintenant et donne-là moi discrètement.

Surprise, je rétorquais sans trop de conviction un « Mais » presque à contre cœur. Toutefois, devant son regard insistant, je scrutais les couloirs avoisinants tout en faisant discrètement glisser mon string de dentelle rouge le long de mes jambes gainées. Une fois libérée, je l’interrogeais du regard :

- Et le tiens ? Fis-je après un instant.
- Il n’est pas nécessaire que je l’enlève puisque je n’en ai déjà plus !
- Comment ? ! Tu es nue sous ta jupe ?
- Oui. Cela fait déjà une semaine que cela dure.
Devant mon étonnement, elle m’expliqua :

- Tu te souviens que je devais sortir au resto avec Jean-Marc la semaine dernière.
- Oui, tu ne savais d’ailleurs pas quoi mettre.
- Figures-toi que lors de mes essayages, je me suis aperçu que ma culotte se voyait au travers du tissu de ma robe, j’ai donc enfilé un string mais le résultat n’était pas probant. Au final, j’ai essayé sans rien. C’était génial !
- Tu es sorti sans rien ! Mais tu n’as pas eu peur qu’on le remarque ?
- Non. Pour tout te dire, je me suis même caressée quelques instants rien qu’à l’idée d’en faire la surprise à Jean-Marc. Je peux te dire qu’il n’a pas été déçu du voyage.
- Et depuis… Tu ne mets plus rien…
- Oui. Et quel plaisir…
Regardant sa montre, elle répliqua :
- Déjà ! Nous devons remonter. C’est l’heure de la réunion.
- La réunion ! Quelle réunion ?
- La présentation du nouveau siège.
Apeurée, je lui saisis le bras :
- Redonne-moi mon string…
- Non, je le garde précieusement dans mon sac.
- Mais je ne peux pas aller en réunion habillée comme ça.
- Pourquoi pas ? J’y suis bien et tu n’as rien remarqué de spécial… Alors pourquoi pas !
- Finalement, tu as raison.

Plus je marchais dans les couloirs, plus je trouvais cela excitant. A tel point que mes nymphes roses s’humidifiaient et une envie folle de me caresser commençait à m’envahir. Mais je ne pouvais pas le faire ici, devant tout le monde.
Nous entrâmes dans la grande pièce déjà occupée par plusieurs personnes. Au centre, des rangés de sièges y avaient été aligné avec minutie.

- Asseyez-vous. Me fit une jeune femme que j’avais vue à plusieurs reprises dans les couloirs de la société.

Je pris place et Chocolat se mit à ma gauche. Nous au quatrième rang, à quelques mètres seulement de l’estrade qui allait accueillir dans un instant le Directeur. Celui-ci devait nous présenter, sur le grand écran, les photos du nouveau siège de la société. Soudain, un membre de la Direction fit son entrée et monta sur l’estrade. C’était un homme mûr, au regard vif. Sa stature carrée trahissait une musculature saillante sous son costume sombre. Après un bref discours, la luminosité diminua et le diaporama débuta.
Presque immédiatement, Chocolat me parla discrètement dans l’oreille :

- Tu es prêtes à te caresser ?
- Comment ? Maintenant ? !
- Oui. Il fait noir. Personne ne le verra.
Je ne me croyais pas aussi forte pour accepter et pourtant, j’acquiesçais d’un hochement de tête. D’un bref mouvement, j’observais mes collègues. Tout le monde, exceptée Chocolat, semblait hypnotiser par les photos qui se déroulaient sur la toile. Discrètement, je glissais un doigt entre les boutons de ma jupe. La peau de mes cuisses était douce et chaude. J’écartais doucement les jambes. Deux autres doigts ne tardèrent pas à rejoindre le premier qui se faufilait déjà sur la peau humide de mon sexe. Instinctivement, j’écartais un peu plus les cuisses. L’excitation montait et ma main cherchait inexorablement à pénétrer dans cette ouverture. D’un mouvement rapide, je sortis mes doigts et fit sauter l’unique barrière pour replonger immédiatement ma main, cette fois tout entière, entre mes cuisses. Cette caresse salvatrice me fit tressaillir. Mon amie n’en croyait pas ses yeux. Machinalement, pris dans la chaleur de l’instant, elle posa sa main gauche sur son entrecuisse. De mon côté, je caressais doucement mon sexe en alternant entre mon petit bouton d’amour si sensible et mes lèvres. J’aurais voulu me dévêtir, envoyer valser cet artifice vestimentaire. Caresser mes seins… Oui ! Caresser mes seins, les soupeser, les malaxer comme je le fais souvent lors de mes séances libératoires. Cette simple idée augmenta considérablement mon excitation. J’entrai littéralement dans un état second. Je n’étais plus dans cette pièce immense mais dans mon salon. J’étais seule avec moi-même et mon corps. Je fermais les yeux n’écoutant que la musique de mes gémissements silencieux.
De son côté, Chocolat n’était pas restée inactive. Elle avait discrètement relevé sa jupe et se caressait doucement jetant de temps à autre un coup d’œil intéressé sur la bosse que dessinait à présent ma main sous le tissu de ma jupe.
Je ne pouvais plus résister, ma main gauche, jusqu’alors inactive, remonta sous mon chandail pour effleurer le satin de mon soutien-gorge. Je sentais mes tétons sensibles sous le tissu tendu. Ils ne demandaient qu’à sortir, se libérer de cette prison. N’y tenant plus, je fis sauter l’agrafe centrale. Quelle merveilleuse idée que de pouvoir les attacher devant. Mes seins jaillirent dans un soulagement général. Me remerciant à leur manière de les avoir ainsi lâchés, ils tendaient, lourd et ferme. A présent, plus rien ne pouvait m’empêcher de jouir. Je reprenais de plus belle mes caresses sur mon bas ventre avec la main droite tandis que la gauche s’activait à étreindre ma poitrine. Au bord de l’extase, une main se posa délicatement sur ma cuisse. Inconsciemment, j’aurais voulu qu’elle remonte vers mon sexe. Qu’elle frôle avec une douceur infini mon bouton si sensible mais, à mon immense regret, elle resta immobile, inerte, figée. Toutefois, je sentis une légère crispation. Fût-il possible que Chocolat soit parvenue à un orgasme en me regardant me caresser ? Pourquoi pas ? J’en avais bien fait de même derrière la caméra…
Cette pensée réveilla en moi un souvenir si fort que j’explosais dans une jouissance incontrôlable. Là, sous le regard aveuglés de tous mes collègues. Mes mains restèrent un instant immobile savourant une dernière fois la douceur de ma peau. Je sortais doucement de ma moiteur lorsque la lumière revint quelques minutes après. Tout le monde se leva. Une chemise de carton collée devant ma poitrine dissimula à merveille les baleines tombantes de mon soutien-gorge dégrafé.
Ce n’est que revenu dans le bureau que Chocolat pu admirer, non sans commentaire, la pointe érigée de mes seins en liberté.
Depuis, ma consommation de culotte a fortement diminué… Au grand plaisir de mon compagnon.

Bises, Nicole.


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