Récit coquin : Un après-midi de rêve...

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Un après-midi de rêve...

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Histoire ajoutée le 18/10/2008 par Nicole

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Je travaille dans une grande société de gérance de dossiers contentieux. J’ai la chance d’avoir mon bureau face à la porte de sorte que je vois à tout moment si un visiteur survient.

Nous sommes cinq femmes dans le service mais, comme dans beaucoup d’entreprises, des clans se sont formés. Moi, je partage mon vis à vis avec une belle femme de quatre ans ma cadette. Elle possède une longue (et abondante !) chevelure bouclée et des formes généreuses. Je ne l’a nommerai que par son surnom : Chocolat. Si elle lit ce récit, je sais qu’elle se reconnaîtra.

Au fur et à mesure de travailler ensemble, nous avons fini par tisser une certaine complicité entre nous. Nous parlons des dossiers mais lorsque la tension se fait ressentir dans le bureau, nos discussions tournent souvent autour du sexe et de nos aventures… C’est ainsi qu’elle ma fait connaître un forum sur Internet où les différents participants ont la possibilité d’adresser des photos souvent coquines. Il ne nous en fallait pas moins pour nous échauffer après une longue et épuisante semaine de procédures judiciaires.

Donc, un jeudi après-midi, à la suite d’un bon repas à l’italien du coin, alors que nous étions seules dans notre bureau, nous avons parlé des fantasmes :

- Tu en as déjà parlé avec ton copain ? Demanda-t’elle après avoir lu quelques confessions sur le forum d’un site « médical ».
- Non, malgré mon âge, je n’ai jamais osé en parler avec R…. Et toi ?
- Non plus. J’ai les miens et je sais qu’il a les siens. D’ailleurs je ne suis pas pour la réalisation de ses fantasmes. Il doit rester une part de magie dans les rapports.
- Je ne suis pas d’accord. Répliquai-je. Si le fantasme de l’un peut plaire à l’autre, pourquoi ne pas l’assouvir ensemble ?
- Tu dis cela mais tu ne veux pas en parler. En as-tu au moins ?
- Bien sûr. J’aimerai faire l’amour dans une forêt, au milieu d’une clairière. Avec la brise légère couvrant ma peau comme une caresse sur mes fesses et sur mes seins.
- Un deuxième homme en somme ?
- Je ne sais pas… Non, pas un homme réel. Plutôt une présence, un souffle, un fantôme.
- Et ton homme, crois-tu qu’il a des fantasmes ?
- Je ne sais pas mais, par contre, j’ai lu dans un magazine qu’ils aimaient voir une belle femme se caresser devant eux. R… n’aura sans doute jamais cette chance car je ne suis pas prête à lui donner ce spectacle.
- Tu veux dire que tu ne t’es jamais masturbée ?
- Bien sûr que si mais pas en public !

Sentant mes joues s’empourprer, elle dévia la discussion mais le sujet était trop tentant pour abandonner aussi vite. Chacune de nous désirais savoir si l’autre s’adonnait à l’onanisme. Tel un cheval au galop, la discussion revînt très vite sur le tapis.

- Et toi ? Tu l’as déjà fait devant lui ?
- Non, mais je voudrais bien essayer car lorsque nous regardons un film érotique, j’ai remarqué que cela lui plaisait énormément.
- Il faudrait que tu te lances !

Après un court silence, comme par défi, elle me lança :

- Pourquoi ne pas le faire ensemble ?

Cette réponse me cloua le bec. Elle me demandait sans autre forme de procès de me caresser devant elle. Je n’eus pas le temps de répondre car déjà deux autres collègues pénétraient dans le bureau.

Je cachais comme je le pouvais mes joues rougies par l’embarras.

La journée se termina sans autre insinuation à notre conversation et encore moins à la demande de Chocolat. Celle-ci quitta un peu plus tard la société prétextant quelques travaux de photocopie à faire.

Le lendemain matin, quelques minutes après mon arrivée, le téléphone sonna et Chocolat m’annonça qu'elle était souffrante et qu’elle ne viendrait pas ce jour. Cela n’était d’ailleurs pas gênant car nous avions terminé le traitement des dossiers la veille. En m’installant à mon bureau, j’eus la surprise de découvrir dans le tiroir de celui-ci une petite enveloppe à mon nom. Je reconnue sans peine l’écriture de mon amie et l’ouvrit sans attendre. Sans doute l’avait-elle glissée la veille au soir. Celle-ci me donnait rendez-vous à 10 heures sur ma messagerie instantanée.

Je cherchais un instant ce qu’elle voulait bien me dire par messagerie et admit près quelques minutes qu’elle ne se brancherait sans doute pas, vu son état grippal. Mais, comme pour conjuré le sort de la maladie ou par simple curiosité, j’ouvris ma session vers 9 heures 55.

- Après tout ? ! Pourquoi pas ?

Surtout que j’étais seule dans le bureau car deux des autres collègues étaient en RTT et la cinquième était en congé de maternité.

Soudain, le petit onglet apparut m’informant que Chocolat était en ligne. Il s’en suivit une discussion des plus banales basée principalement sur la santé de mon amie. Mais, peu à peu, le ton changea. Soudain, Chocolat me reposa la question énoncée la veille :

- Es-tu prête pour te caresser devant moi ?

Esquivant mon désarroi, je trouvais une excuse qui, je l’avoue, n’en était pas une :

- C’est que… Je suis au bureau ?
- Alors veux-tu bien me servir de spectatrice ?

L’idée de voir une femme se masturber ne m’avait jamais effleurée l’esprit. Je restais un instant silencieuse. Il est vrai que j’aimais m’admirer devant le miroir mais c’était MOI et moi seule, avec mes défauts et mes formes !

- Tu es toujours là ?
- Ou… Oui…

- Si je t’ai donné rendez-vous, c’est pour le faire devant la webcam… Si tu veux le voir, tu restes, sinon, tu ne regardes pas : Je ne le saurais pas puisque je ne te vois pas… Mais j’aurais l’impression que tu es toujours devant ton écran.
- Dans ces conditions, je veux bien accepter.

A ces mots, mon cœur s’emballa et une bouffée de chaleur envahit mes joues. Je me levais et me dépêchais pour aller fermer la porte du bureau. Celle-ci restait généralement ouverte mais là, je préférais être seule. D’autant plus que je ne savais pas comment j’allais réagir. J’avais bien entendu déjà vu des scènes similaires dans les films mais maintenant c’était ma collègue et amie qui allait se caresser devant moi. « Devant moi », ces simples mots me faisaient frémir.

Au retour à ma place, j’acceptais l’invitation de la vidéo et découvrais une femme aux formes généreuses, revêtue d’un superbe déshabillé en dentelle. Les larges auréoles brun contrastaient à merveille avec la blancheur de la dentelle. Sous le tissu léger, un string tout aussi blanc dissimulait plus qu’il ne cachait son sexe épilé. Un tour devant la caméra me fit découvrir un petit tatouage sur le haut de sa fesse droite. La pièce était claire et bien meublé. Derrière la chaise, on distinguait un grand canapé aux couleurs vives. Au dessus de celui-ci, sur une petite étagère en bois vernis, était disposé deux petits tubes, du moins c’est comme cela que je les distinguais. La lumière diffuse faisant de ce salon un havre de paix et de volupté.



Tout doucement elle prit place sur la chaise et passa doucement les mains sur sa poitrine faisant pointer ses tétons. Ses lèvres s’entrouvrirent pour laisser un petit bout de langue s’approcher de son sein qu’elle tirait à présent vers ses lèvres. Un filet de salive coula doucement sur sa peau. D’un geste calme et suave, elle quitta son déshabillé pour paraître encore plus belle et plus désirable. Je sentais mes cuisses me chauffer et regrettais de ne pas être à la maison pour me libérer de ma jupe qui me serrait. Inconsciemment, je la relevais délicatement et écartais les cuisses pour sentir l’air frais sur ma peau. Tout éveillée, je rêvais. Mon corsage me gênait. J’aurais voulu me dévêtir et balancer au travers de la pièce mon soutien-gorge et mon string.

Sur l’écran, Chocolat avait quitté son siège pour s’installer sur le canapé. Sa jambe droite relevée, son string s’était ouvert et je distinguais nettement les lèvres de mon amie. Ses doigts effleurant le point sensible du plaisir. Tantôt rentrant dans la caverne humide, tantôt tournoyant autour de ce bouton si convoité retardant, avec difficulté, un plaisir trop longtemps contenu. La tête penchée en arrière, elle gémissait alors que mes mains couraient fébrilement sur ma poitrine. Plus rien n’existait dans ce bureau, j’aimais ce spectacle qu’elle m’offrait.

Tout à coup, elle se leva, retira son string avec douceur et attrapa un des deux sextoys (que j’avais pris dix minutes plus tôt pour des tubes) placés au dessus d’elle. Me tournant le dos, les bras sur le dossier du canapé et les cuisses bien écartées, elle joua un instant, la main sous elle, avec le jouet pour le faire disparaître presque entièrement entre ses nymphes roses et humides. Un va et vient torride s’en suivi. Je n’eus pas le courage de résister. En un éclair, j’ôtai mon string et remonta ma jupe jusqu’à ma taille pour ouvrir mon intimité le plus possible.

Mes mains s’emparèrent de mon sexe chaud et à présent humide. Je caressais mon bouton, calmant par secousse le feu d’une excitation si longuement maîtrisée. Je ne pensais pas que la vue de cette femme se donnant du plaisir aurait généré chez moi une telle fougue, une telle ardeur. Je bougeais mes mains partout sur ma peau. Remontant de temps à autre sur ma poitrine endolorie par un soutien-gorge trop serré… Dans l’état où j’étais, je n’aurais pas supporté un simple voile sur mes seins. Je ne voulais pas quitter l’écran des yeux et pourtant je n’avais qu’une envie : courir dans les toilettes pour enlever tous mes vêtements et prolonger mes mouvements du plaisir.

Mais, très vite, sans doute trop vite, l’orgasme me submergea comme un raz-de-marée. Mes jambes se raidirent et mon souffle se coupa. Je prenais sur moi pour ne pas crier pour évacuer cette tension insoutenable, dans ce bureau. Doucement, je reprenais mes esprit, resserrant doucement les cuisses comme pour prolonger un moment unique.

Le téléphone sonna et c’est une Chocolat essoufflée qui me sortit de mon rêve :

- Alors ? Me Demanda-t’elle d’une voix mielleuse.
- Super, on le refait quand tu veux…

Le lendemain, nous remettions cela mais avec deux webcam… Depuis, je n’ai plus peur de le faire devant Chocolat et mon compagnon… Il ne sait toujours pas pourquoi.


Bises.


Nicole.


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