Récit coquin : Le vidéo-club...

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Histoire ajoutée le 18/10/2008 par Nicole

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Loin d’être une grande narratrice, je vais essayer de vous conter l’histoire qui m’est arrivée l’an passé. Il faut tout d’abord vous préciser que je suis une femme de 41 ans, aux yeux vert. Aux dires de mon mari, je suis encore très séduisante. Un corps fin, une jolie poitrine (95C) et des cheveux mi-long châtains. J’ai pour habitude de porter des pantalons ou des jupes plus ou moins moulantes.
Il m’est d’ailleurs arrivé de ne pas passer inaperçue aux regards des jeunes gens tant auprès des femmes qu’auprès des hommes.
Nous avons près de chez nous un couple de jeunes femmes qui tiennent un vidéo club. Cela fait plusieurs années que nous y louons nos films quotidiennement et nous avons fini par sympathiser. Sarah est fine, ses cheveux sont longs d’un joli châtain clair alors qu’Isabelle est plutôt brune aux formes généreuses. Nous discutons principalement des différentes sorties de films ou des confidences plus ou moins « légères » de nos couples respectifs.

Lors d’une discutions à propos de films pour adulte, mon mari s’est vu offrir l’opportunité de récupérer, tous les mois, les magazines offert par les maisons de production de ces fameux films. Quelques jours plus tard, alors que je rentrais du bureau, je décidais de passer prendre un bon film pour passer une soirée sympathique. Mon mari ayant été retenu pour participer à une rencontre interentreprises dans une ville de province. J’étais donc seule pour la soirée et la nuit. Je ne comptais pas me morfondre dans mon lit. Je voulais donc en profiter pleinement.

En plus de ma location, Sarah glissa dans mon sac un blister renfermant un magazine de charme ainsi qu’un DVD.

Guettant la sortie du dernier client, elle me glissa doucement :

- Pour ton mari.

Son regard vert brillait malicieusement.

- Il va être content.
- Je pense bien. Celui-ci est très bien : Moi j’ai adoré.
- Tu regardes ce genre de film ?

Mon étonnement la fit sourire.

- Pourquoi m’en priverais-je ? Je suis seule sans mari ni enfant.
- Dans le fond, tu as raison. Pourquoi ne pas prendre du plaisir où il y en a ? Où les regardes-tu ? Tu as finalement acheté un lecteur ?
- Non, mais ici nous pouvons passer les DVD pour voir s’ils fonctionnent. Alors, j’en profite.

A ma grande surprise, elle m’affirma en avoir plusieurs en réserve qu’elle visionnait de temps en temps avant l’arrivée des clients. Elle avait même un jour, pris dans l’action du film, oublié d’ouvrir la grille. Heureusement, aucun client n’était arrivé à l’heure de l’ouverture.

- Et tu te… ? Enfin, je veux dire… Tu sais quoi !?
- Si je me caresse ?
- Oui, c’est cela.

J’ai beau avoir la quarantaine, il y a des choses que j’exprime difficilement en matière de sexe.

- Oui, bien sûr. Comment crois-tu que je puisse tenir des jours sans un mec dans mon lit ?
- Tu ne le fais pas ici tout de même ?
- Cela m’arrive de temps en temps lorsque nous recevons des nouveautés. Ce jour là, je ne mets rien sous ma jupe et discrètement…

Il mima quelque peu le geste sur la fermeture de son jeans devant mes yeux écarquillés.

- Je n’aurais jamais imaginé cela.
- C’est que je me cache bien !
- Maintenant que je le sais, je regarderais mieux la prochaine fois.

Nous nous mîmes à rire en cœur.

- Qu’est-ce que tu regardes en général ?
- Je préfère ceux avec des rapports lesbiens. J’avoue que c’est mon plus grand fantasme mais je n’ai pas réussi à franchir le pas. Le manque d’occasion, sans doute. Tu l’as déjà fait toi ?
- L’amour avec une femme ? Non, jamais.

Il est vrai que l’idée m’avait plusieurs fois traversées l’esprit, dans le feu de l’action, mais je ne l’avais jamais fait.

- Et te caresser ?
- Oui. Cela m’arrive de temps en temps lorsque je suis loin de R, pour me soulager, mais jamais devant lui.
- J’aurais bien aimé faire l’amour avec une femme au moins une fois. Connaître la douceur et le parfum du sexe féminin. Je suis sûr que l’amour avec une femme doit être plus câlin, plus sensuel qu’avec un homme. Pour si peu que l’homme soit un vrai lapin, la soirée est gâchée ! C’est vrai, tu passes la soirée à te pomponner, à te faire belle pour un beau mec et une fois son affaire faîte, il se tourne et s’endort sans plus de cérémonie. En plus, 9 fois sur dix, il ronfle !

Quelques instants plus tard, je quittais le vidéoclub avec une pensée troublante. Je m’imaginais Sarah dans un lit avec une autre fille, aussi belle et attirante qu’elle pouvait l’être. Cette discussion m’avait émoustillé. Inconsciemment, je sentis mon entrecuisse s’humidifié quelque peu.

Sur le chemin de retour, je rêvais. L’idée de la savoir dans les bras d’une femme m’excitait de plus en plus. Comment cela pourrait se produire ? J’élaborais autant de scénario que ma mémoire pouvait en stocker. Des situations les plus soft en passant par les circonstances les plus osées. Toutes les positions se déroulaient devant mes yeux mêlant caresses et baisers intimes. A tel point qu’arrivé devant la porte de mon logement, j’étais dans un état second. Une folle envie d’ôter mes vêtements m’envahit. Ils étaient devenus d’un coup lourd et désagréable à porter.

La porte fermée, je quittais ma veste, mon chemisier et mon pantalon. En sous-vêtement dans l’appartement, je me sentais encore oppressée dans mon soutien gorge qui ne mit pas longtemps à rejoindre les autres affaires sur la chaise du salon.

Ma peau réclamait des caresses, des mains… J’aurais aisément accepté des mains de femme. Cette visite avait réveillé en moi un désir latent non assouvit. M’imaginant les mains de Sarah sur mon corps, dans mes cheveux. Je passais sur toutes les parties intimes de ma peau. Face à moi, l’écran éteint du téléviseur me renvoyait l’image d’une femme terriblement sexy aux courbes délicieusement harmonieuses. Effleurant avec de plus en plus d’insistance le tissu délicat de mon string, seul rempart à ma féminité, mes doigts cherchaient la chaleur d’une peau fraîchement épilée. Mes mains remontaient vers mes seins, réclamant plus de plaisir pour redescendre presque aussitôt sur mon sexe enflammé, gonflé, tendu. Je ne pouvais plus résister, le plaisir montait irrémédiablement, oubliant jusqu’à l’heure d’appel de mon mari, si loin. En fermant les yeux, ce n’était pas lui que je voyais mais elle, Sarah. La même qui, quelques minutes plus tôt m’avait avoué le plus simplement du monde, son désir de coucher avec une femme. Elle se tenait là, devant moi nue, offerte, se donnant du plaisir avec la même fougue que mes mains pouvaient m’en offrir. D’un mouvement rapide, j’ôtais avec frénésie et passion mon string pour atteindre mon intimité dans une délivrance indescriptible…


Je n’avais jamais ressenti une telle envie auparavant et je vous assure que cette soirée fut loin d’être terminée.


A bientôt. Bises…


Nicole


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