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Dernières filles coquines inscrites autour de chez vous
Dans beaucoup de phantasmes masculin, il y a des infirmières, toutes plus sexy les unes que les autres… Je viens de sortir de l’hôpital, et ai une histoire (vraie) à conter…
J’ai connu Natacha il y a quelques années, et nous avions eu une aventure aussi brève que torride ! C’était une petite blonde, avec de très longs cheveux et une poitrine menue et pas très ferme (ceci étant dû à une grossesse). Elle mesurait, et mesure toujours, à peine un mètre cinquante et ne doit pas peser plus de cinquante kilos, avec un jolis petit tatouage en haut de la cuisse gauche, représentant une colombe avec une rose dans le bec. Nous nous étions perdus de vue, mais je me souvenais particulièrement d’une caractéristique : elle se masturbait souvent dans les toilettes de son service à l’hôpital et m’envoyais des comptes-rendus par SMS à chaque fois…
En ce moment, mon couple ne va pas trop bien, ce qui me met dans un état de frustration sexuelle assez fort. Et pour comble, j’ai été victime d’un accident stupide (il y en a-t-il d’autres ?) qui m’a amené à l’hôpital pour quelques jours : j’ai donc été hospitalisé et me trouvais immobilisé sur le dos : rien de plaisant, et bien loin de tous les rêves sur les infirmières qui justifient les déguisements ou de superbes créatures sont en petit uniforme blanc marqué d’une croix rouge.
En effet, la plus sexy des infirmières que j’avais vue dans ce service ressemblait, a part le sexe, à un adjudant de Paras ou à un dragon : je m’ennuyais ferme !
A la fin de ma troisième journée d’hospitalisation, je vis Natacha entrer dans ma chambre, m’apportant le triste plateau-repas en usage dans ces lieux. « Je savais que c’était toi »me dit-elle en souriant. Tandis qu’elle m’aidait à manger, je remarquais une alliance à son doigt. Ce qui me contraignit derechef à réfréner mon envie d’user de mon seul bras libre pour lui caresser les fesses ! Une fois le repas fini, elle partit, me laissant seul avec mes phantasmes. J’éteignis la lumière et m’endormis d’un sommeil léger : dormir sur le dos n’est pas mon habitude !
Dans un demi-sommeil, vers les 21 heures, j’entendis la porte s’ouvrir… une main se posa sur mon front : je reconnus le parfum du savon à la vanille de Natacha, puis, la main descendit et me caressa le membre au travers du drap et de mon caleçon. Je ne bronchais pas, bien que, ayant du faire un rêve érotique, je bandais comme un cerf ! Mon lit étant au plus sombre de la pièce, je me risquais à entrouvrir un œil, et je vis Natacha, debout dans une tache plus claire, qui avait une main dans son pantalon blanc. Elle déplaça une chaise pour s’assoir, et je pus voir distinctement sa main s’agiter entre ses jambes… N’y tenant pus, elle se releva et fit glisser son pantalon sur ses chevilles, suivis d’un minuscule slip en coton blanc, très fin, pas un string mais quelque chose de très minimaliste tout de même ! Elle se rassit, presqu’allongée sur la chaise et se remit à l’ouvrage, les genoux écartés au maximum. Son médius droit restant en surface, elle se caressait les grandes lèvres. Son autre main était sur son estomac et tirait la peau du ventre vers le haut afin de s’ouvrir mieux ! Puis, il plongea en elle , faisant des allers-retours pour agacer son clitoris. Je n’en perdais pas une miette ! Un second doigt s’introduit en elle, puis un troisième, allant et venant de plus en plus vite, de plus en plus fort, dans un doux bruit de clapotis humide… Elle s’arc-bouta sur sa chaise et produit un long gémissement rauque.
Natacha se releva, après un court instant, se rajusta et s’aperçu que j’avais les deux yeux ouvert : « je le fais souvent en pensant à toi » me dit-elle dans un sourire, « tu m’as laissé de très bons souvenirs le spectacle t’as plu ? »… Avisant la bosse sous le drap, elle plongea la tète sous celui-ci, abaissa mon slip prestement et je sentis une bouche chaude englober mon membre. Au début, juste le gland, puis en entier, je n’en revenais pas, tans de mecs rêvent de ce genre de moment !!
Je voyais dans la pénombre sa tète se lever et s’abaisser sous le drap, sentais ma hampe gonfler dans la chaleur de sa bouche… je n’ai pas tardé à exploser. Natacha n’en perdit pas une goutte. Puis elle partit sans un mot.
Le lendemain, j’appris qu’elle serait en congé les jours suivant, et que quand elle reprendra son service, je serais sorti…
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