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Histoire ajoutée le 06/01/2012 par marcheur
Dernières filles coquines inscrites autour de chez vous
Je me décide à raconter mon aventure, pas tant pour m’excuser, mais plutôt pour essayer de comprendre ce qu’il m’arrive.
Je suis ce qu’on appelle une quadra, j’ai 44 ans, je suis assez ronde, j’ai une forte poitrine (100d) et des hanches assez larges. Mon mari me trouve magnifique, il ne cesse de me le répéter, que j’attire les regards des autres hommes et que je suis très excitante.
Moi, j’avoue me trouver trop grosse, j’ai quand même une belle ligne, mais je ne me trouve pas du tout attirante. Mais bon, le regard des hommes et celui des femmes….
Pour mon travail, je dois parfois, partir en formation quelques jours dans la région parisienne, avec des collègues de travail, mon mari ne loupe jamais une occasion de me titiller la dessus, avec des sous entendus: « amuse-toi bien, lâche toi, profites en… » .
Moi toujours très fidèle, coincée diront certains, je lui réponds toujours que les seuls collègues qui m’accompagnent sont des femmes…et c’est la vérité.
Arrive une de ces formations, et me voilà partie pour 3 jours, dans un grand hôtel, séminaire oblige, avec ma collègue Brigitte, ce que je ne savais pas, c’est que nous serions rejoins par des équipes de toute la France.
Lors du tour de table, où chacun se présente, j’ai bien remarqué que le collègue de Marseille, Michel, me regardait avec insistance et me lançait de nombreux sourires, la cinquantaine, un charme certain, pas désagréable à regarder.
Brigitte me glisse dans l’oreille, je crois que tu as une touche. Moi, évidemment, j’ai piqué un fard, et je suis resté troublée un moment bizarrement, je n’ai pas vu passé la matinée.
Lors du repas du midi, le marseillais s’arrange pour se mettre à notre table, et nous amuse avec ses histoires du sud, toujours en me lançant de petits regards.
La grande discussion de la table tourne autour des vacances, et je ne peux m’empêcher de parler du dernier week-end que nous avons passé en Normandie, dans un club Pierre et Vacances. Où j’ai pu apprécier entre autre la piscine chauffée, mais surtout le hammam. C’était très délassant, très chaud parfois dans tous les sens du terme….
L’après midi passe, encore emplie de sourires et de regards de mon collègue du sud.
La journée est finie, alors qu’on s’apprête à quitter la salle, Michel s’approche de nous, et nous dit :
« Ce soir, on va au restaurant, ça vous tente les filles ? »
On se regarde, c’est tentant, on ne connait pas trop Paris, oui, allez c’est d’accord…
Rendez vous dans 1 heure dehors.
Se changer, quoi mettre ? Pas quelque chose de trop ringard, ni de trop sexy, que m’arrive t il ? Je ne vais pas à un rendez vous amoureux, j’en oublie presque d’appeler mon mari et mon fils, mauvaise mère et mauvaise épouse….
J’opte pour un chemisier légèrement transparent un peu entrouvert, et un petit top en dessous, c’est assez discret. Mais vu le volume de ma poitrine, le top est bien tendu et le décolleté généreux pour qui est bien placé, mon mari serait content.
Je passe sous silence la soirée au restaurant où, hasard, Michel est venu s’assoir à coté de moi. Et bien sûr (taille des banquettes oblige) il était vraiment très proche, de nombreuses fois, sa jambe est venue frôler la mienne, ce qui m’a fait rougir à chaque fois .
Je l’ai bien vu également, jeter de nombreux coups d’œil dans mon décolleté placé juste à coté de moi, il devait avoir une belle vue, bizarrement, cela me dérange de moins en moins .
Bien sur, Brigitte, à qui rien n’a échappé, insiste lourdement:
« Tu vois que tu as bien fais de t’habiller plus sexy, Michel n’en peut plus. »
Je ne relève pas la remarque, mais me contente de lui lancer un regard noir.
Michel se penche vers moi (petit coquin) et me dit :
« Tu sais que notre hôtel dispose d’un hammam me lance Michel, si tu veux te détendre, profites –en
- Euh, non, je ne crois pas…»
Il parait déçu, tu t’es pris un bide, mon gars. Je suis soulagée, mais en même temps, j’éprouve moi-même une petite déception, comme l’impression de passer à coté de quelque chose.
Le lendemain, la journée se déroule normalement, Michel me parle et m’observe avec toujours autant d’attention, et comme la veille, nous convenons tous ensemble d’un diner au restaurant.
Cette fois-ci, je décide de continuer l’expérience, et d’opter pour un décolleté un peu plus provocant, mon marseillais est aux anges. Il ne fait même plus l’effort d’être discret. C’est vrai que, même si on est en été, le vent est assez frais et j’ai quelques frissons, mes tétons pointent outrageusement. Profites-en bien Michel, c’est la dernière soirée où tu peux te rincer l’œil.
De retour dans ma chambre, on frappe à la porte, aie !, je m’attends à voir Michel, ouf, je découvre ma collègue Brigitte qui me propose un hammam, elle ne connait pas et a toujours voulu essayer:
« S’il te plait, Sandrine, ça va être sympa
- Pourquoi pas, on se détendra. »
N’ayant pas pris de maillot de bain, nous décidons d’être nues avec juste une serviette autour de nous:
« C’est vide ? me demande Brigitte avec un petit sourire,
- Oui, on peut y aller. Alors, comment trouves-tu ? c’est sympa, ça délasse, non ?
- Oui, mais j’ai drôlement chaud, et pour respirer, faut s’habituer, je crois que je serai mieux sans la serviette et sans attendre, elle l’enlève, j’ai moi aussi le souffle coupé, mais pas à cause de l’air, elle a un corps magnifique, elle est mince et a de petits seins haut perchés et des bouts qui sont dressés.
- Allez, laisse toi aller, Sandrine, je vais t’aider, je la laisse m’enlever ma serviette. Elle semble impressionnée par mes seins
- Dis donc, tu as une sacré poitrine, les hommes doivent bien fantasmer sur toi.
- Oh non! je ne crois pas, ils sont trop gros, toi par contre, tu es superbe.
- Tu rigoles, tu as excité les mecs de la formation toute l’après-midi, surtout Michel
- Oh celui-là, c’est vrai qu’il parait drôlement en manque
- En même temps, les mecs aiment les gros seins
Et ce faisant, elle me caresse les épaules et viens me caresser les seins, je suis tellement surprise que je ne dis pas un mot.
Elle m’enlace et me fait une bise, nous sommes nues toutes les deux, elle, détendue, et moi, prête à sauter sur ma serviette.
- Alors, le marseillais, il te plait ? tu peux me le dire, ça restera entre nous.
- Disons qu’il est sympa et c’est vrai qu’il ne me laisse pas indifférent, mais bon, je suis fidèle.
- Oh, arrête, si ton mari n’est pas au courant, ça gène qui ? Personne, profites de la vie
- C’est une façon de voir.
- Tu as déjà eu beaucoup d’amants dans ta vie ?
- En fait non , j’ai connu mon mari au lycée, et donc il est le premier et l’unique…
- Oh ma pauvre, faut te rattraper, attends moi , je reviens, je vais au petit coin. »
Brigitte sort. J’en profite pour remettre ma serviette, mais cette coquine a emporté les deux, c’est malin, vivement qu’elle revienne. Me voilà seule avec mes pensées. Oui, le marseillais, c’est vrai qu’il est craquant, les yeux qu’il me lançait, j’imagine son corps, ses mains sur moi, rien que d’y penser, j’en mouille presque, les caresses de Brigitte m’ont déjà bien troublé, ma main commence à descendre vers mon sexe et je me caresse doucement, c’est bien agréable.
Quelqu’un entre dans la pièce, la vapeur m’empêche de bien voir, c’est Michel, lui aussi une serviette nouée autour de lui. Je serre les fesses et croise les bras pour lui cacher ma poitrine, je suis vraiment gênée:
« Comme on se retrouve, les grands esprits se rencontrent, me lance t il avec un large sourire, le mieux au hammam, c’est d’être nu, tu as raison et joignant le geste à la parole, il enlève sa serviette, je détourne la tête, mais j’ai bien eu le temps de voir son sexe qui m’a paru très gros:
« Détends-toi! Je te sens toute stressée
- Ca t’étonne ??
- Attends laisse moi te masser les épaules »
Il se glisse et s’assoit à califourchon juste derrière moi. Il commence doucement à me masser le cou, puis les épaules, observant ma réaction.
Je suis tétanisée, je le sens derrière moi, il s’est appuyé contre moi et me caresse les épaules, je suis en sueur, ses mains glissent sur moi. C’est quand même très agréable, aucun doute possible sur l’état de son sexe, je le sens dressé contre mon dos, je me laisse aller, décroise mes bras, il les caresse doucement, le bout de ses doigts effleurant parfois ma poitrine. Il s’enhardit , ses mains s’égarent sur mes seins, il les prend à pleines mains, sans le vouloir, je pousse un petit gémissement, il prend cela pour un encouragement, peut être en était-ce un?
Il me pelotte carrément la poitrine, il prend son temps, je sens qu’il attend ce moment avec impatience et qu’il le savoure, mes gros seins lui remplissent bien les mains,il joue avec mes tétons :
« Ahhh, tes seins! Ca fait deux jours qu’ils me font envie. Ils sont superbes et très doux, j’avais hâte de te voir le soir, quand le temps se rafraichit, juste pour voir tes bouts pointer fièrement et tendre le tissu de ta chemise et ton décolleté au resto, hummmmm, j’ai bandé toute la soirée.»
Je suis trempée, j’ai l’impression que je vais exploser, il continue ses caresses, et commence à me les masser plus vigoureusement, cela m’excite encore plus, il me pince les bouts de seins, mes pensées s’affolent, faire l’amour avec lui, je ne le veux pas, je ne veux pas le laisser me pénétrer, ça serait aller trop loin, mais je veux lui montrer que j’apprécie ce moment.
Repoussant ses mains, je me lève, il me regarde la bouche ouverte, et contemple mon corps, mon sexe pas complètement rasé, mais surtout mes seins, ils sont lourds, les aréoles sont très grandes, les bouts tendus par l’excitation.
Je découvre son sexe , il est énorme, je me mets à genou et commence à le caresser. Mes deux mains peuvent le tenir à peine, je commence à donner des petits coups de langue sur le bout du gland, bien que déjà initiée à la fellation par mon mari, j’étais toujours un peu réticente. Mais là, j’en ai envie, je veux lui faire plaisir, je veux lui dévorer la bite. Il pose ses mains sur ma tête, et j’avale complètement son sexe, enfin, j’essaye, c’est un vrai taureau , je fais des va et vient avec ma tête, je me relève et lui frappe le visage avec mes seins :
« Tu aimes ça, hein ?
- Oh oui, vas y continue… »
Je lui colle la tête contre moi, l’étouffant presque, tant pis pour lui, il attrape mes fesses et les pétris vigoureusement, il en profite pour me sucer les bouts, je gémis .
Je repars le sucer de plus belle, j’arrive maintenant à complètement mettre son sexe dans ma bouche (quand on veut), quand soudain, il crie et se lâche, éjaculant généreusement dans ma bouche, moi qui n’ai jamais voulu satisfaire mon mari pour cela, là tout est différent. J’avale tout avec gourmandise, je continue à le sucer en aspirant sa semence, une 2eme charge vient m’éclabousser le visage, je suis couverte de son sperme qui dégouline sur mon nez et ma bouche et j’aime ça…..
Il se détend et s’allonge, j’en profite pour prendre la fuite:
« Attends, ne pars pas tout de suite..
- Non, écoute….
- Viens… »
Alors que je souhaite partir, mon corps lui obéit .
Il me prend la main, vient s’assoir, puis me fait à mon tour s’assoir sur lui, moi qui croyait qu’il allait être fatigué, il n’en est rien. Son sexe est plus vigoureux que jamais, il me pénètre doucement au fur et à mesure que je m’assoit sur lui , j’ai l’impression d’exploser. L’orgasme est déjà là, et il commence seulement à bouger , chacun de ses mouvements me procure un immense plaisir, je gémis comme jamais je n’ai gémis, mon corps ne m’appartient plus. Il me pénètre au plus profond, et ses coups de butoir m’arrachent un cri à chaque fois ,c’est l’extase.
Il est resté vigoureux en moi pendant une bonne partie de la nuit, m’amenant à de nombreux orgasmes. Il m’a ensuite raccompagné jusqu’à ma chambre en me souhaitant bonne nuit avec un tendre baiser.
Le lendemain, complètement perturbée par cette soirée incroyable, j’ai eu du mal à me lever, c’est Brigitte, en frappant à ma porte, qui m’a réveillé, et qui m’a annoncé la nouvelle :
« De nouveaux modules de la formation sont arrivés, on va devoir rester une journée de plus et bien sur une nuit de plus aussi me dit-elle avec un sourire en coin, c’était bien, hier soir, non ? tu sais je suis revenue un peu après, mais je n’ai pas voulu vous déranger, tu t’es drôlement bien débrouillé, moi qui te croyait un peu coincé, j’ai été bluffée
- Quoi ??? tu nous a vu ?
- Cool, c’est moi qui t’avais dit d’en profiter, donc tu as bien fait. Quand même, il en avait une sacrément grosse, t’as du bien apprécier, la prochaine fois, si tu as besoin d’aide, tu penses aux copines.
- Il n’y aura pas de prochaine fois, et pour quoi tu m’as pris ma serviette ?
- Oups ! désolée, allez faut y aller. Habilles toi, et sexy, mais classe, le genre working girl mais qui suce comme une salope, c’est ce que les hommes aiment. Montre à Michel qu’il y a encore de quoi l’affoler. »
Sans trop savoir pourquoi, je lui ai obéi sans protester, peut être parce ce mot vulgaire pour me qualifier, m’a excité. Décidément, je ne me reconnais plus. J’ai opté pour une jupe courte, et j’ai remis le chemisier légèrement transparent, mais sans top, juste un soutien gorge en dentelle en dessous, mais avec un gilet au dessus.
La formation démarre, et le formateur nous invite à nous mettre en binôme pour pouvoir agir au mieux sur les nouveaux programmes. Je pensais me mettre avec Brigitte mais cette traitresse s’est déjà approchée de quelqu’un d’autre en me montrant Michel du doigt. Je suis bien forcée de me joindre à lui, ce qui bien sur le ravit.
Le formateur nous donne des consignes que nous appliquons, chaque petit groupe étant devant son pc, mon portable se met à vibrer, un message, c’est Brigitte qui me dit :
« Alors heureuse ? Fais lui plaisir, enlève ton gilet »
Furieuse, je lui renvois :
« Tu rêves !
-Je crois pas, j’ai des photos du hammam, donc obéis moi »
Je n’en crois pas mes yeux, me voilà soumis à un chantage.
« Allez, obéis !!! »
Complètement troublée, je me décide à retirer mon gilet, au final avec la lumière des néons, mon chemisier est vraiment transparent. Il laisse apparaitre mon soutien gorge en dentelle qui lui-même est assez transparent sur le devant. On distingue même très bien les deux taches sombres de mes tétons.
Même le formateur vient beaucoup plus souvent près de nous pour voir si tout va bien, si nous avons bien compris, mon œil, ce sont mes seins qui l’attirent. Il me sourit bien plus qu’avant.
« Ouvre un bouton »
J’ai une suée, mais je m’exécute. La séparation de mes deux seins est maintenant nettement visible.
« Maintenant, fais tomber ton stylo, et penche toi pour le ramasser en posant ta tête sur la fesse de Michel. »
Je suis toute rouge, faire tomber ce satané stylo, c’est fait, mais Michel, galant, me le ramasse.
« Mince, il contrarie mes plans lol » me renvoie Brigitte.
On va essayer autre chose, je vais appeler le formateur, et lui demander de me montrer quelque chose à l’écran, dès qu’il est assis , tu te lèves et tu viens derrière lui, pour voir sa manip, et tu appuieras tes seins sur lui. »
« Patrick, s’il te plait, viens me montrer comment on impute ses données sur l’autre dossier. »lance Brigitte
Le formateur vient s’assoir près d’elle, celle-ci m’appelle :
« Sandrine, viens voir, on a souvent ce problème chez nous.
Je ne bouge pas.
- Tu devrais aller voir, Sandrine, si ce problème se répète chez vous, ce sera surement intéressant de pouvoir le résoudre, me dit Michel.
(Même lui s’y met, occupes toi de tes fesses.)
Je me décide à aller derrière le formateur, et je m’appuie sur son dos, je pose ma main gauche sur son épaule et m’appuie sur lui, les deux globes de mes seins sont bien contre son dos, lui qui nous expliquait tout d’une diction claire et assurée se met à bafouiller et à chercher ses mots. Il est également tout rouge. Nul doute que ma poitrine appuyée sur lui ne le laisse pas indifférent.
Je rejoins ma place, nouveau texto : « tu as vu, le formateur bande, bien joué »
Je lui réponds : « à toi, maintenant, t’es pas cap d’ouvrir deux boutons. »
Sans attendre, et très discrètement, elle ouvre deux boutons, et rappelle le formateur, je le vois s’attarder au dessus de Brigitte, elle se met à bouger, il doit avoir une belle vue, le bougre. Rapidement le formateur repart s’assoir à son bureau. Surement à cause de l’érection qu’il a de plus en plus de mal à cacher.
« Voilà, c’est fait, et en plus, moi, j’ai pas mis de soutif ,me renvoie Brigitte.
-T’es qu’une vicieuse, que je lui renvois.
-Au fait, toi aussi ça te plait ??
-Oui ..
-À ton tour, vire ton soutif qu’on soit à égalité, et amuse toi »
Je me rends discrètement aux toilettes, sous le regard de Michel et du formateur, mon retour sera attendu, nul doute la dessus. Aux toilettes, je me dépêche d’enlever mon soutien-gorge, je m’aperçois que je suis toute trempée, comment Brigitte a-t-elle pu me transformer à ce point ? Le retour est un moment inoubliable, je suis revenu en marchant tranquillement, je souriais, mes seins ballotaient sous ma chemise, les aréoles nettement visibles, et tous les hommes de la formation étaient bouche bée, et me suivaient des yeux. Brigitte me souriait et me fit un clin d’œil. Enfin, pour ne pas perdre à notre petit jeu, j’ai moi aussi déboutonné un deuxième bouton, j’ai ensuite fait venir le formateur et j’ai appelé Brigitte afin qu’elle se rende bien compte de la vue que pouvait avoir le formateur. C’est simple, si je me penchais trop, mes seins risquaient de sortir. Je suis donc restée sagement sur ma chaise, mais le simple fait de prendre des notes amenait le bord de ma chemise très près de mes tétons, j’ai du souvent me réajuster.
Je pense que le formateur n’est pas prêt d’oublier cette journée.
Cette situation, bien qu’imposée au début m’a finalement assez amusée et je dois le reconnaitre très excitée. Michel, lui n’a pas tout compris, il a louché sur mes seins sans rien voir de ce qui se passait autour de lui.
De retour dans nos chambres, Brigitte est venue me rejoindre:
« Alors, ça fait quoi de jouer les allumeuses ?
- J’avoue au final que ça m’a plu. Et les photos ?
- Non, pas de photos, je t’ai baratiné, je ne suis pas une traitresse, juste une tentatrice. D’ailleurs je suis sur que Michel ne va pas t’oublier de sitôt, au fait, c’est un peu lui qui m’avais demandé de t’amener au hammam.
- Tu lui as obéi ?
- Bin oui, tu sais, comme il va être muté dans notre bureau en tant que chef de bureau, je ne pouvais pas refuser…… »
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